Sans paix, pas de progrès social

Texte publié le 10 novembre 2020.

Il y a 75 ans se terminait la Seconde guerre mondiale.

Après l’horreur des camps d’extermination et l’explosion des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, le monde voulait jeter les bases d’un monde de paix et de progrès social, en créant l’Organisation des Nations Unies au moment où la France, elle, jetait les bases de cette avancée considérable qu’est la Sécurité sociale.

Pour la CGT qui a toujours œuvré pour la paix et le progrès social, la concomitance de ces dates est porteuse de sens. Le progrès social ne peut avoir lieu que dans un monde en paix où l’avenir de chacun est sécurisé.

Les guerres se multiplient avec leurs lots de massacres, de misères, de populations poussées à l’exode. La France n’est pas neutre, elle demeure un des leaders du commerce mondial des armes au nom d’intérêts économiques et financiers. Contre tous les traités de désarmement existant, le développement ou la sophistication de l’armement nucléaire se poursuit. C’est ainsi que le monde devient instable et la France y contribue.

Pour en savoir plus, lire le communiqué de la CGT