Le soutien insultant de la garde des sceaux aux fonctionnaires et magistrats

Texte publié le 20 février 2020.

Ce gouvernement n’en aura donc jamais terminé d’étaler son inconséquence, auquel la garde des sceaux a pu croire utile d’y ajouter l’insulte qui fleure bon le mépris de classe...

Insulte aux avocats d’abord !

En leur reprochant les conséquences de l’exercice du droit de grève, c’est le droit de grève qu’elle leur dénie. Si le délit de blasphème n’existe pas plus que le droit à l’insulte, le droit de grève existe bel et bien ! Heureusement qu’elle ne siège plus au conseil constitutionnel... mais pour le bien du service public de la justice, de ses acteurs et de ses usagers, il serait plus que temps qu’elle prenne sa retraite (L’Express la désignait d’ailleurs récemment comme le maillon faible du gouvernement...) !

Insulte aux magistrats et fonction ensuite !

Pour en savoir plus, lire le communiqué du Syndicat National CGT des Chancelleries et Services Judiciaires

 Mail de Nicole BELLOUBET, garde des Sceaux, ministre de la justice - A l’attention des magistrats et fonctionnaires des cours et tribunaux