Les exigences de la troika par rapport à la Grèce sont innacceptables

Texte publié le 6 septembre 2012.

Communiqué de presse de la Fédération syndicale européenne des services publics (FSESP)

La Fédération syndicale européenne des services publics a appris à connaître un document confidentiel préparé par la troïka imposant et superviser la mise en œuvre des politiques d’austérité en Grèce et composé de représentants de la Commission européenne, la BCE et le FMI demandent plus de main-d’œuvre réformes du marché du gouvernement grec. Ceci est totalement inacceptable.

Les propositions comprennent le démantèlement de l’inspection du travail ainsi que l’augmentation de la flexibilité du temps de travail. Les propositions fuite, non destinés à la discussion publique, cherchent à étendre la semaine de travail de 6 jours par semaine. Ils font suite à des réformes antérieures qui ont détruit la négociation collective et substantiellement réduit les salaires minimums. Les propositions balayer le processus démocratique et les négociations entre les syndicats et les employeurs.

" Ces propositions sont un diktat à la suite de la Grèce et une ingérence inacceptable dans le marché du travail , explique Jan Willem Goudriaan, Secrétaire général adjoint de la FSESP . " Nous avons besoin d’une vision différente de la Grèce et d’autres pays d’une extrémité à l’austérité et mettant l’accent sur ​​l’investissement dans des emplois durables et non l’inverse Troïka de jeter les déchets à une économie ".

" De qui est-ce la Troïka et dont la Commission et représentants de la BCE obtenir le mandat de proposer des suggestions ? Nous espérons que le président de la Commission européenne et le commissaire européen aux Affaires sociales à se distancier des suggestions Troïka. Ne pas le faire envoyer le signal aux travailleurs de l’Europe que la Commission est d’accord détruire la protection des travailleurs. Les travailleurs européens n’ont pas besoin d’un troisième mandat de président de la Commission qui permet que cela se produise ", Jan Willem Goudriaan ajoute, se référant à la proposition de la commissaire Reding pour donner au président de la Commission de troisième terme.

Imposant l’austérité de plus en détruisant la négociation collective ne permettent pas de résoudre la crise de la Grèce. Les salaires s’étendant temps de travail et l’abaissement ne va pas créer la demande. Ils ne conduisent pas à plus d’investissements. Les employeurs ne créera pas d’emplois. Les mesures d’austérité imposées à la Grèce ont aggravé la dette publique, a conduit à enregistrer des taux de chômage de près de 50% des jeunes étant sans emploi, et l’augmentation de la pauvreté. La troïka et les plans du Conseil ont un triste record et prouvées de ne pas travailler et de faire empirer les choses.

Bruxelles, le 6 Septembre.

lien sur le site de la FSESP